La maladie d’Alzheimer est une perturbation neuronale évolutive qui détruit d’importantes fonctions mentales ainsi que la mémoire. Elle est à la base de la dégradation et de la perte d’énergie de certains neurones. Pour attester de la présence de l’Alzheimer, qui peut durer toute une vie, un diagnostic médical est nécessaire. Cette maladie ne requiert aucun test en laboratoire, encore moins par imagerie. Le traitement de la pathologie peut soulager le patient même si elle est reconnue comme étant incurable. Est-il possible de guérir de la maladie d’Alzheimer ? Vous en saurez davantage en lisant ceci.
Sommaire
Qu’est-ce que la maladie d’Alzheimer ?
La maladie d’alzheimer est une pathologie dégénérative qui s’attaque au cerveau au sein duquel s’accumulent des substances chimiques anormales. Il faut d’emblée souligner qu’il n’existe pas véritablement de traitement capable de la guérir. Cependant, certains médicaments sont disponibles sur le marché et permettent de remédier au mal de façon significative. Rendez-vous sur Altivie pour en savoir plus sur les traitements accessibles aux patients en France. La structure propose entre autres un lit médicalisé pour personne confuse ainsi que divers produits et aides à domicile.
L’alzheimer maladie est aussi une pathologie neurodégénérative provoquant des lésions au niveau du cerveau. Celles-ci, irréversibles conduisent au déclin des fonctions cognitives et comportementales. Ce sont en effet, ces dernières qui permettent de traiter l’information enregistrée dans la mémoire. Il va sans dire que ces facultés baissent au fur et mesure que la pathologie progresse.
La personne atteinte de la maladie alzheimer est sujette à une perte mémoire immédiate et des souvenirs anciens. Elle subit aussi des modifications majeures au niveau de son raisonnement, mais également de son jugement. Une récente étude publiée sur cette démence vient contredire l’observation empirique qui stipule que le vieillissement normal du cerveau en serait la cause principale.
Quels sont les facteurs de risques ?
Les principaux facteurs de risques de l’alzheimer demence sont fondamentalement l’âge, le terrain génétique ainsi que les paramètres environnementaux. Bien que le vieillissement des cellules du cerveau n’en soit pas la cause essentielle, plus l’âge avance plus le risque augmente. En effet, près de 15 % des personnes de plus de 80 ans sont atteintes maladie.
L’alzheimer étude de l’IGAP montre que la susceptibilité génétique joue un rôle fondamental dans l’apparition et le développement maladie. Ainsi, le risque de présenter des symptômes maladie est élevé si l’un des parents est atteint. Celui-ci est multiplié par 1,5 ou 2 si les deux géniteurs en ont souffert.
Plus de 80 gènes ont été déclarés responsables de la pathologie à la suite de l’étude de l’IGAP. Parmi ceux-ci, certains présentent un risque maladie alors que d’autres sont reconnus comme étant des protecteurs. Ces derniers sont minutieusement étudiés par les scientifiques afin de trouver des traitements médicamenteux à la maladie.
Le résultat des analyses menées sur les gènes montre que les protéines sont responsables de la formation des lésions cérébrales. Elles sont aussi à la base de l’élimination des déchets issus du cerveau vers le sang. Elles favorisent également la régulation de la plasticité synaptique qui n’est rien d’autre que la capacité d’un organisme à générer de nouveaux couplages neuronaux.
En outre, les protéines produites par l’organisme permettent aussi d’éliminer les connexions inutiles. Cela aide à conclure que bien qu’elles soient un facteur de risque, les protéines du corps sont nécessaires pour demeurer à l’abri de la maladie d’Alzheimer.
Comment soigner l’Alzheimer ?
Pour soigner l’Alzheimer, il est important de tenir compte des facteurs de risques énumérés ci-dessus. Cela permet de prévenir la maladie et de rapidement y remédier dès l’apparition des premiers symptômes. Ainsi, il faut contrôler régulièrement son hypertension artérielle de même que les troubles lipidiques. S’il faut le rappeler, cela implique une étude hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie.
Ces différentes analyses permettent de vérifier respectivement le taux de cholestérol et des triglycérides dans le sang. Il faut aussi éviter de consommer des aliments pouvant entraîner :
- le diabète,
- le surpoids,
- l’obésité.
Le tabagisme ainsi que la consommation excessive d’alcool sont également à la base du développement de cette pathologie. Il est donc indispensable de prendre des dispositions afin de limiter la prise de ces substances. Pour se mettre à l’abri de l’alzheimer, il faut également éviter le stress chronique. Il est aussi nécessaire d’avoir un sommeil réparateur pour s’éloigner de ce déclin cognitif.
Un endormissement d’une durée insuffisante fait partie des facteurs risque de cette pathologie. Pour remédier à la maladie et préserver sa santé, les spécialistes recommandent aux malades alzheimer un repos de plus de 6 h. Cela est davantage nécessaire si le patient se trouve dans la fourchette de 50 à 70 ans.
Bien qu’il n’existe pas encore un alzheimer traitement, certaines pilules sont disponibles sur le marché pour calmer le mal. C’est le cas du donépézil, de la rivastigmine et de la galantamine. Comme alternatives aux alzheimer médicaments, certains experts en la matière à l’instar d’Altivie, proposent aussi de se déplacer régulièrement.
Quelle est l’espérance de vie d’un malade d’Alzheimer ?
De nombreuses études, dont celle du docteur Mello Van Lent situent dans l’intervalle 8 à 12 ans la durée restante de vie d’un malade d’Alzheimer. Cette fourchette d’âge doit s’ajouter à l’âge de la personne lorsque commence la pathologie. Sachez que l’espérance de vie d’un malade d’Alzheimer dépend de plusieurs facteurs.
Le tout premier à prendre en compte est sans doute l’âge. En effet, un malade de plus de 60 ans a moins de chance de résister à la pathologie qu’une personne de 40 à 60 ans. Les malades se trouvant dans cette fourchette d’âge peuvent avoir une espérance de plus de 12 ans. Par contre, ceux ayant plus de 60 ans au moment où s’est développée la maladie ne pourront pas résister plus de 8 ans.
L’autre aspect dont dépend l’espérance de vie est la consommation alimentaire de la personne atteinte. Si celle-ci prend des repas trop riches en protéines, elle pourrait avoir des plaques amyloïdes assez développées. L’exposition du patient aux maladies cardiovasculaires peut aussi occasionner une accélération de la maladie d’Alzheimer. La prise des produits médicamenteux est également l’un des facteurs qui impactent l’espérance de vie.
Un malade prenant régulièrement un médicament spécialement conçu ou des calmants a plus de chance de prolonger sa durée de vie. Il en est de même pour un patient exerçant une activité physique et prenant des dispositions naturelles pour se mettre à l’abri de la maladie.