Imagion Biosystems Limited, une société dédiée à l'amélioration des soins de santé grâce à la détection précoce du cancer, est heureuse de partager des nouvelles de recherches publiées par des collaborateurs de l'Université de Sydney démontrant que les nanoparticules d'oxyde de fer d'Imagion permettent l'imagerie par résonance magnétique à faible champ, ce qui pourrait fournir un avancée significative en imagerie médicale en réduisant le coût et en améliorant l'accessibilité de l'IRM.
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Cette recherche renforce l’importance de l’opportunité clinique et commerciale des nanoparticules d’Imagion.
Le travail, publié dans Science Advances (17 juil.2020, Vol 6, No 29) rapporte comment un défi fondamental qui a entravé le développement de l'IRM à ultra-bas champ (ULF MRI) peut être surmonté par l'utilisation de nanoparticules d'oxyde de fer, produisant -contraste des images sans compromettre la sensibilité d'acquisition, même lors de l'utilisation de champs magnétiques ultra-faibles.
À ce jour, le domaine des produits de contraste IRM a été dominé par des agents chélatés, comme le gadolinium. Cependant, l'utilisation du gadolinium a récemment fait l'objet d'un examen minutieux en raison de découvertes de neurotoxicité et de néphro-toxicité. Cet article démontre que les nanoparticules d'oxyde de fer offrent un meilleur contraste que le gadolinium dans ULF_MRI.
Des scientifiques de l'Université de Sydney ont collaboré avec le Dr Matthew Rosen, directeur du Low-field MRI and Hyperpolarized Media Laboratory au Massachusetts General Hospital, à Boston. La publication peut être consultée en ligne en utilisant ce lien.
L'auteur principal, le Dr David Waddington, et des collègues de l'Université de Sydney sous la direction du Dr Zdenka Kuncic, avaient reçu une subvention de collaboration de l'industrie pour étudier l'utilité des nanoparticules comme agent de contraste pour l'IRM. Imagion fournit un soutien en nature, notamment les nanoparticules PrecisionMRX® de la société qui sont régulièrement vendues à des fins de recherche.
Leur travail a été présenté dans la newsletter d'Imagion de mars 2019. Les travaux récemment publiés soulignent que leurs résultats pourraient ouvrir une nouvelle voie pour l'utilisation clinique de l'IRM ULF, et pourraient «avoir des implications plus larges pour la détection des maladies avec des scanners IRM portables à bas champ».
C'est une science très intéressante. On sait depuis longtemps que les nanoparticules d'oxyde de fer créent un contraste avec les imageurs à résonance magnétique.
Nous pensons que des travaux comme celui présenté dans cette publication, ainsi que notre prochaine étude sur nos nanoparticules MagSense pour la détection clinique du cancer du sein métastatique HER2, ouvriront la voie à de multiples opportunités commerciales pour Imagion et notre technologie de nanoparticules. Bob Proulx, président exécutif d'Imagion Biosystems