Une étude récente publiée dans Nutrients a exploré l’impact de la vitamine D sur le cancer du sein (BC).
Étude: L’impact de la vitamine D et de sa supplémentation alimentaire dans la prévention du cancer du sein : une revue intégrative. Crédit d’image : Johan Larson/Shutterstock.com
Arrière-plan
La vitamine D est omniprésente dans presque toutes les cellules et tissus humains. La recherche sur la vitamine D a été motivée par sa relation avec de nombreuses maladies, dont le cancer.
La prévitamine D3 est synthétisée à partir du 7-déhydrocholestérol par exposition aux rayons ultraviolets du soleil ; par la suite, l’isomérisation thermique conduit à la formation de vitamine D3.
En outre, la vitamine D peut être obtenue à partir de régimes alimentaires et de suppléments. Quelle que soit son origine, l’hydroxylation enzymatique dans le foie produit de la 25-hydroxyvitamine D. [25(OH)D]suivi d’une conversion pour former du calcitriol [1,25(OH)2D] dans les reins.
Le calcitriol joue un rôle essentiel dans la régulation du métabolisme du phosphore et du calcium et a des effets anticancéreux. La Colombie-Britannique est le cancer le plus répandu chez les femmes dans le monde.
La pathogenèse de la Colombie-Britannique est mal définie et la recherche sur les mécanismes sous-jacents est essentielle à la formulation de stratégies de prévention. Certains facteurs de risque de la Colombie-Britannique ne sont pas modifiables, mais d’autres, comme le mode de vie et l’obésité, offrent des possibilités d’intervention.
La vitamine D joue un rôle dans la prévention et le traitement de la Colombie-Britannique en influençant la différenciation cellulaire, l’inflammation et la régulation hormonale.
L’étude et les résultats
La présente étude a examiné la relation entre la Colombie-Britannique et la supplémentation en vitamine D. Les chercheurs ont recherché des études pertinentes dans les bases de données PubMed, Scopus et Web of Science.
Les études éligibles ont examiné la supplémentation en vitamine D chez les femmes adultes, ont fourni les taux sériques de vitamine D et ont évalué l’effet des facteurs de risque sur la relation entre la BC et la vitamine D.
Les recherches dans la base de données ont identifié plus de 700 enregistrements ; 16 études ont été incluses après déduplication, sélection et exclusions.
Premièrement, cinq études ont été analysées pour déterminer la relation entre les taux sériques de vitamine D et le risque de développement de la Colombie-Britannique ; les niveaux optimaux requis pour diminuer le risque ont également été évalués. L’équipe a déterminé que la vitamine D pouvait exercer ses effets protecteurs contre la Colombie-Britannique à raison de 40,26 ng/ml en moyenne.
Une méta-analyse a mis en évidence que les taux sériques moyens étaient respectivement de 26,88 ng/ml et 31,41 ng/ml chez les patients et les témoins de Colombie-Britannique ; une insuffisance en vitamine D pourrait être liée au développement ou à la progression de la Colombie-Britannique. Une étude cas-témoins a rapporté une association inverse entre les niveaux de vitamine D et le risque de développement de la Colombie-Britannique.
En outre, une étude a observé que les femmes ayant des concentrations de vitamine D de 60 ng/ml ou plus présentaient un risque réduit de 80 % de BC par rapport à celles ayant 20 ng/ml.
Une autre méta-analyse a indiqué qu’une carence en vitamine D était associée à l’apparition de la Colombie-Britannique, soulignant l’importance d’une exposition accrue au soleil et d’une supplémentation en vitamine D pour la prévention de la Colombie-Britannique.
Néanmoins, d’autres études n’ont trouvé aucune association entre les niveaux de vitamine D et le risque de BC. Le récepteur de la vitamine D (VDR) est un facteur essentiel dans la relation entre la vitamine D et le risque de BC.
Le VDR se caractérise par son lien avec le BC dû à plusieurs polymorphismes qui altèrent les principales fonctions du récepteur. En outre, plusieurs gènes sont régulés positivement ou négativement via l’activation du VDR.
En outre, des preuves établissent un lien entre les polymorphismes VDR et la carence en vitamine D et le risque de BC. Par exemple, une étude a identifié que le polymorphisme rs2228570 était associé à un risque plus élevé de BC.
Cela a été corroboré par une autre étude, qui a également indiqué que le rs7041 était associé à un risque accru. Il existe néanmoins des études dont les résultats sont contradictoires.
Le mode de vie joue un rôle crucial dans la prévention des maladies. L’alimentation est un aspect du mode de vie qui peut être considérablement modifié, et des habitudes alimentaires saines ont été associées à des risques considérablement plus faibles de cancer du sein.
Une étude a suggéré que la consommation d’aliments à indice glycémique élevé et de viande pourrait être liée à un risque plus élevé de cancer du sein. En revanche, une consommation accrue de légumes et de nutriments comme la vitamine D et le calcium est inversement associée au risque de maladie.
De plus, il a été rapporté que le régime méditerranéen, l’exercice physique et des niveaux suffisants de vitamine D pourraient améliorer la vie des survivants de la Colombie-Britannique. Compte tenu de la prévalence croissante de la carence en vitamine D, l’enrichissement des aliments constitue une stratégie importante pour améliorer l’état nutritionnel.
Bien que les effets positifs des aliments enrichis en vitamine D aient été établis, des études sont nécessaires pour valider leur rôle en Colombie-Britannique.
Une étude cas-témoins a suggéré que le maintien de niveaux adéquats de vitamine D, de calcium et de fer pourrait protéger contre la Colombie-Britannique chez les femmes ménopausées.
Ainsi, une étude a examiné l’apport en vitamine D et en calcium dans le contexte de la Colombie-Britannique sur un suivi de 10 ans et a révélé que les femmes préménopausées ayant un apport plus élevé de ces deux nutriments pourraient avoir un risque plus faible de Colombie-Britannique.
Remarques finales
Dans l’ensemble, la carence en vitamine D est étroitement liée au développement de la Colombie-Britannique. L’équipe a déterminé que des taux sériques de vitamine D de 40,6 ng/ml ou plus pouvaient être considérés comme protecteurs contre le risque de BC.
Divers mécanismes biologiques peuvent être impliqués dans cette relation, dont l’axe VDR. D’autres gènes sont également impliqués dans cette relation.
Néanmoins, d’autres études sont nécessaires pour mettre en évidence l’importance de la carence en vitamine D dans le risque de BC ainsi que les mécanismes et facteurs de risque associés.