Le cancer des ovaires est la quatrième maladie dégénérative la plus meurtrière pour les femmes. Jusqu’à aujourd’hui, les scientifiques ne peuvent toujours pas expliquer l’apparition des cellules cancéreuses. Cependant, les chercheurs ont découvert les facteurs de risque. Afin de se prémunir contre cette forme de cancer, il faut s’informer sur les moyens de prévention et les méthodes de dépistage.
Le cancer des ovaires : un vrai fléau
Le cancer des ovaires reste une énigme pour la communauté scientifique. Effectivement, les chercheurs n’arrivent pas encore à expliquer l’apparition des tumeurs malignes. Toutefois, leurs recherches donnent de précieuses informations sur les facteurs de risque. Le tabagisme figure parmi les principales causes. L’absorption régulière de nicotine et d’autres substances goudronneuses peut provoquer des dérèglements métaboliques permanents. Les spécialistes citent également les bouleversements hormonaux qui suivent la ménopause ou encore une exposition prolongée à de l’amiante.
Cette forme de cancer est détectée à un stade primaire dans 70% des cas à cause de la virulence et la sévérité des premiers symptômes. Cette maladie dégénérative se manifeste par une douleur plus ou moins intense au niveau du bas-ventre, une envie fréquente d’uriner et un gonflement du ventre. Les praticiens peuvent reconnaître assez facilement ces signes. Toutefois, des tests et des examens seront nécessaires pour confirmer le diagnostic.
À un stade avancé, le cancer peut toucher d’autres organes. La maladie affecte généralement les fonctions hépatiques et les capacités immunitaires. Cela favorise différentes affections urinaires, ce qui affaiblit le patient très rapidement. Le pronostic vital est inférieur à 5% puisqu’aucune intervention chirurgicale n’est envisageable.
Le cancer des ovaires : les méthodes de prévention et de traitement
À vrai dire, il n’existe pas de techniques infaillibles pour prévenir le cancer des ovaires. Cependant, il faut éviter de s’exposer à des facteurs de risque. Ainsi, il faut absolument arrêter de fumer et adopter une hygiène de vie saine. Dès la ménopause, il convient également de consulter régulièrement un gynécologue pour faire un bilan régulier. Si cette maladie est diagnostiquée assez tôt, les chances de rémission sont assez élevées. Si l’on détecte les premiers signes à savoir une perte de poids rapide et un gonflement au niveau du bas-ventre, il est conseillé de solliciter un médecin. Ce dernier réalisera les différents examens nécessaires. Généralement, les praticiens préservaient un test sanguin, une échographie et une biopsie. Grâce aux résultats, on parviendra à confirmer ou à réfuter la présence de cellules cancéreuses.
Concernant le traitement cancer des ovaires, il faudra se tourner vers la chimiothérapie, la radiothérapie ou encore subir une intervention chirurgicale. L’usage des extraits naturels en soins palliatifs est également recommandé pour réduire l’installation des fibroses dues aux rayons des traitements. Cette solution apporte plus de bien-être au patient.